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Courants parasites : des courants qui fuitent au sein de nos fermes

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Depuis quelques années, les courants parasites aussi appelés champs électromagnétiques sont sources d’interrogations au sein des élevages. La filière animale s’interroge sur les répercutions éventuelles qu’il peut y avoir sur les productions qu’il s’agisse des ruminants ou d’autres productions.

La ferme expérimentale de Derval sollicitée par ce projet.  

Il s’agit d’une étude menée par l’Institut de l’Elevage, financée par la CNE dont l’objectif est de mettre au point des outils permettant de mesurer objectivement l’exposition des bovins aux multiples sources électriques. Afin d’avoir un cadre réaliste la ferme expérimentale de Derval sera le support d’accueil. 

Bien que des études est déjà vu le jour, le sujet reste encore trop vaste. Nous avons en notre possession trop peu de connaissances à apporter aux éleveurs, notamment de par la complexité de ce phénomène. L’espèce bovine est plus sensible aux sources électriques notamment parce que les quatre pieds des bovins sont en contact direct avec le sol humide contrairement aux humains qui ont deux fois moins de contact avec les éléments conducteurs et qui de plus sont isolés par leurs semelles.

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