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Fertilisation azotée des prairies : quelles techniques pour répondre aux objectifs fixés ?

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La prairie est une culture. En considérant la prairie comme une culture, la fertilisation doit tenir compte de plusieurs critères techniques pour répondre aux objectifs fixés. Si l'on n'apporte pas d'azote, l'herbe ne pousse pas ?

Fonctions et fonctionnement de la prairie : nous parlons de cultures pérennes hors plantes annuelles (RGI).

La fertilisation azotée de cette culture, dont la destination fourragère est diverse (prélèvement direct par le pâturage ou indirect par la(les) fauche(s), se raisonne en tenant compte de plusieurs paramètres. Le calcul de l’équilibre de la fertilisation engage une réflexion à la parcelle. Ce calcul ne doit pas être systématisé tant les variables sont fortes.

Ce calcul de la balance azotée des prairies se réalise en amont des apports, mais doit se réajuster en fonction de l’année climatique et au fil des saisons (fin d’hiver, printemps, fin de printemps, automne).

Le sol : on pense, à tort, que la connaissance du sol (par une analyse) suffira pour plusieurs campagnes. Or, nous constatons que le physique (texture) apporte des éléments stables, mais ce sont surtout les compartiments chimiques qui vont orienter les choix et décisions annuelles. La texture aidera à donner les capacités fonctionnelles (CEC, RFU, indice de battance, sensibilité au piétinement au compactage par les engins…).

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