S’appuyer sur la réglementation

"Notre base de départ provient d’une démarche militante d’offrir à tous une alimentation de qualité et bio" précise cette agricultrice du collectif. "On a saisi l’opportunité d’adapter les régimes alimentaires pour aller vers plus de protéines végétales dans les repas. En local, les débouchés existent d’autant plus que la loi Egalim demande aux cuisiniers des cantines d’introduire un repas végétarien. On travaille aussi dans des PAT (Projet Alimentaire de Territoire) pour sensibiliser à l’introduction de protéines végétales, sur la Communauté de Communes d’Erdre et Gesvres par exemple. On travaille à approvisionner un groupement d’approvisionnement de collectivité (cantines scolaires)."