Mes déchets vont dans les champs
Certaines intercommunalités broient, tamisent, valorisent et livrent aux champs les déchets verts des particuliers. Épandus, comme les boues des stations d’épuration, ils apportent matière organique et fertilisants au sol de façon particulièrement vertueuse.
Ils travaillent pour le climat et la biodiversité
Les cultures captent naturellement le carbone… Et semer des végétaux gélifs à cycle court après la récolte permet de capter les nitrates. Couvrir les sols favorise aussi la biodiversité et les équilibres créés permettent de limiter les interventions chimiques.
Leurs interventions sont ciblées
Pour intervenir au bon moment et de la façon la plus ciblée, les agriculteurs utilisent de multiples outils d’aide à la décision simples ou technologiques : pièges à insectes, images satellites, sondes capacitives pour l’irrigation, modèles météo…
Ce sont de vrais experts
Face aux enjeux économiques et environnementaux, les agriculteurs deviennent des experts de haut niveau qui utilisent des technologies de pointe. Ils sont amenés à suivre régulièrement des formations sur la conservation des sols, la conduite des fongicides, l’irrigation, les alternatives aux produits phytosanitaires…
Objectif qualité sanitaire pour nos aliments
Fournir une nourriture saine aux humains comme aux animaux implique de surveiller les champignons et les insectes qui altèrent les rendements, de repérer et éliminer les plantes invasives comme le datura (très toxique) ou l’ambroisie (allergène)… La qualité sanitaire s’atteint au travers de pratiques rigoureuses sur l’ensemble du cycle de production – choix des variétés, désherbage, fongicides, insecticides, irrigation…